ARCHIVE UBACTO.COM 2004 - Ils fleurissent aux rayons presse. En France, Jalouse avait lancé le concept dès 1998 pour faire un coup de promo. Depuis le mini-magazine gagne du terrain et pas seulement dans la presse féminine. L'épidémie touche même la proximité. Dans la région, le passage de L'Essentiel de l'Aunis au petit format pour son édition de février-mars a déchaîné les passions. État des lieux de la mode à l'informatique.
ARCHIVE UBACTO.COM 2004
Pour Philippe Jolly, de la Maison de la Presse à La Rochelle, le petit format n'est plus un phénomène isolé. Tout le monde s'y est mis, surtout depuis le début de l'année. Jalouse, Bien vivre, Marie France, Cosmopolitan... Du côté des magazines féminins, la grande majorité des titres doublent leurs éditions. Un grand et un mini et chacune choisit.
Même stratégie au masculin. Men's Health ou encore l'Ordinateur individuel ont passé le cap début 2004. Du côté des nouveautés, si nous trouvons à La Rochelle Shopping en grand format, sa petite version est diffusée dans d'autres zones. Quant à Mods, il a opté directement pour le petit format. Ce sera aussi le cas pour le retour très attendu de Glamour. Ou encore du tout nouveau ELLEgirl, nouveau mag pour les adolescentes dont la première édition, cette semaine, est couplée avec celle de maman. Plus près de nous, L'Essentiel de l'Aunis garde son petit format, mais finalement celui de l'île de Ré à La Rochelle conserve sa dimension de revue.
Et ça fait vendre ?
En survolant les déclarations des éditeurs dans les journaux et sur le Web, ce n'est pas forcément le jackpot. Si pour certains l'augmentation est significative, la majorité préfère parler de compléments de ventes. Sans avoir fait les comptes, l'impression est la même pour Philippe Joly à La Maison de la Presse de La Rochelle. Les titres se multiplient, les formats aussi. Chez nous, les ventes restent plutôt stables. Aujourd'hui, mis à part les lecteurs fidèles à "leur magazine", les clients sont aussi plus exigeants. En fait, ce qui fait la différence c'est le contenu. Un dossier, un sujet ou même un titre accrocheur en couverture peut booster les ventes. Et puis, certains groupes de presse font de la surenchère. Leur objectif est d'avoir, en cumulant les éditions, des plus gros tirages que leurs concurrents. Résultat, on finit par retrouver les mêmes articles partout. Les lecteurs ne sont pas dupes, les ventes n'explosent pas, en fait elles s'éparpillent.
[ Presse ] Papa, maman, la mode et moi !
Pour Philippe Jolly, de la Maison de la Presse à La Rochelle, le petit format n'est plus un phénomène isolé. Tout le monde s'y est mis, surtout depuis le début de l'année. Jalouse, Bien vivre, Marie France, Cosmopolitan... Du côté des magazines féminins, la grande majorité des titres doublent leurs éditions. Un grand et un mini et chacune choisit.
Même stratégie au masculin. Men's Health ou encore l'Ordinateur individuel ont passé le cap début 2004. Du côté des nouveautés, si nous trouvons à La Rochelle Shopping en grand format, sa petite version est diffusée dans d'autres zones. Quant à Mods, il a opté directement pour le petit format. Ce sera aussi le cas pour le retour très attendu de Glamour. Ou encore du tout nouveau ELLEgirl, nouveau mag pour les adolescentes dont la première édition, cette semaine, est couplée avec celle de maman. Plus près de nous, L'Essentiel de l'Aunis garde son petit format, mais finalement celui de l'île de Ré à La Rochelle conserve sa dimension de revue.
Et ça fait vendre ?
En survolant les déclarations des éditeurs dans les journaux et sur le Web, ce n'est pas forcément le jackpot. Si pour certains l'augmentation est significative, la majorité préfère parler de compléments de ventes. Sans avoir fait les comptes, l'impression est la même pour Philippe Joly à La Maison de la Presse de La Rochelle. Les titres se multiplient, les formats aussi. Chez nous, les ventes restent plutôt stables. Aujourd'hui, mis à part les lecteurs fidèles à "leur magazine", les clients sont aussi plus exigeants. En fait, ce qui fait la différence c'est le contenu. Un dossier, un sujet ou même un titre accrocheur en couverture peut booster les ventes. Et puis, certains groupes de presse font de la surenchère. Leur objectif est d'avoir, en cumulant les éditions, des plus gros tirages que leurs concurrents. Résultat, on finit par retrouver les mêmes articles partout. Les lecteurs ne sont pas dupes, les ventes n'explosent pas, en fait elles s'éparpillent.
[ Presse ] Papa, maman, la mode et moi !
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Réagir : contacter N.M ubacto - Publié le : 18-Mar-2004