De La Rochelle au sud de la Charente-Maritime et, bien entendu autour de Rochefort, la résistance s'organise. Après le succès de la galette des rois citoyenne du dimanche 11 janvier 2015 à laquelle ont participé quelque 800 personnes, la Zad d'Echillais est confrontée à un avis d'expulsion prononcé lundi 12 janvier 2015. Une quinzaine de personnes occupent en permanence cette "zone à défendre" dont l'installation a commencé dans la nuit du 30 au 31 décembre 2014. Objectif : empêcher que débute le chantier de l'hyper-incinérateur d'Échillais.
Ce projet, considéré comme surdimensionné, polluant et coûteux, est controversé. Ses détracteurs pointent aussi le manque de concertation préalable. De nombreux citoyens et élus demandent depuis des mois un moratoire permettant de dégager des solutions alternatives qui prennent en compte notamment la nécessaire réduction des déchets à la source. En effet, le déchet le plus économique et écologique est celui qu'on ne produit pas. Le tri et la valorisation des fermentescibles, déchets végétaux ou d'origine végétale biodégradable permet également de diminuer les volumes à incinérer.

Avis d'expulsion : sept personnes présentes sur le site de la Zad avaient été convoquées la semaine dernière par le juge des référés du tribunal administratif de Poitiers pour s'expliquer sur "l'occupation illégale d'un terrain industriel". Cette convocation faisait suite à la plainte formée par Vincent Barraud. Maire d'Étaules, il est président du SIL, le Syndicat intercommunautaire du littoral qui gère les déchets ménagers de cinq intercommunalités représentant 97 communes et plus de 200 000 habitants, soit un tiers de la population de Charente-Maritime. Le SIL avait invoqué la sécurité à la fois des biens et des personnes pour motiver son action en justice, expliquant que la Zad est installée sur un site industriel et affirmant qu'il pourrait être contraint à mettre à l'arrêt l'usine d'incinération. De leur côté, les opposants-occupants ont fait valoir que la Zad s'est installée uniquement sur l'emprise du futur chantier, sans empiéter sur les deux zones d'activité. Celle de l'unité de compostage et celle de l'incinérateur dont les fonctionnements et les accès ne sont pas perturbés. Compte tenu des difficulté rencontrées pour évacuer de nombreuses zones défendues en France, le SIL a également assorti sa demande d'expulsion d'une astreinte de 100 euros par jour à compter de la date de l'ordonnance.

Mobilisation : suite à l'avis du 12 janvier 2015, les occupants de la Zad doivent théoriquement quitter les lieux sans délais. À défaut, le SIL pourra demander à la force publique de les déloger. L'action des zadistes s'inscrit dans une démarche pacifique avec comme objectif de mettre la pression sur les élus en charge dossier pour obtenir un moratoire. Mais, comme ils l'ont toujours rappelé, ils n'ont absolument pas l'intention de partir avant d'avoir obtenu gain de cause. Ils sont soutenus dans leur démarche et sur le terrain par de nombreuses associations, parmi lesquelles, bien entendu P.R.A, Pays Rochefortais Alert' ainsi que des riverains, voisins et autres citoyens engagés ou simplement concernés. Lors de la réunion de jeudi dernier, 8 janvier 2015 à Rochefort qui a fait salle plus que comble, des dispositifs ont été mis en place, notamment celui de la "cascade téléphonique" qui permet de mobiliser des militants et sympathisants. Ce derniers peuvent, si nécessaire, se relayer sur la Zad pour faire nombre aux côtés de la quinzaine de jeunes zadistes qui vivent sur le site en permanence. Les expulsions, normalement, ne peuvent pas être exécutées entre 22h et 6h du matin.
À ce stade, pour éviter toute violence, les pro et anti doivent trouver les alternatives et faire des compromis.

Benoît Biteau, paysan bio, élu PRG, radical de gauche, notamment vice-président de la Région Poitou-Charentes, connu pour son engagement et son franc parler a adressé, dès lundi soir 12 janvier 2015 un communiqué. Il rappelle le contexte et donne son point de vue : "Le tribunal vient de prononcer l'expulsion de la Zad d'Echillais contre l'hyperincinérateur. Son effet est immédiat ! L'organisation de la résistance est en marche ! Des nombreux opposants se mobilisent et vont affluer sur place. Souhaitons que l'issue ne soit pas dramatique, en cette période déjà suffisamment troublée. Espérons que les élus soient suffisamment responsables pour reprendre le cours des discussions et sortir de la crise par le haut !
Si l'obstination et le passage en force conduisent à l'irréparable, que ceux qui en seraient à l'origine mesurent pleinement, dès aujourd'hui, l'ampleur de leur responsabilité."

La décision de créer la Zad a été motivée par la signature, le 24 décembre 2014 et en catimini par le président du SIL de l'engagement travaux. Pour Benoît Biteau, même si la date butoir pour signer était au 31 décembre 2014, le faire était une erreur qui ne fait que renforcer l'engagement du Syndicat intercommunautaire du littoral, faisant fi de toutes négocations en cours ou possibles.

Ségolène Royal, ministre de l'environnement, ne peut pas vraiment faire grand chose, explique Benoît Biteau quand on lui pose la question. Il rappelle que, même si la Région s'était prononcée contre le projet d'incinération d'Echillais, la gestion des déchets n'est pas une compétence régionale mais départementale. Par ailleurs, les autorisations administratives ont déjà été données et les procédures légales ont été faites dans les règles. On ne peut donc pas invoquer de vice de procédure.
Par contre Ségolène Royal a ouvert une porte en proposant au SIL de revoir sa copie afin de pouvoir candidater à l'appel à projet "territoire zéro déchet, zéro gaspillage" et qu'elle apporterait, le cas échéant, une attention particulière au dossier.

D'autres dimanches festifs et citoyens sur la Zad d'Echillais ? Dans le droit-fil du grand rassemblent dominical du 11 janvier 2015, il était prévu d'y organiser chaque fin de semaine à un grand rendez-vous autour d'un barbecue et-ou d'un goûter à partager et d'expressions artistiques : musique, théâtre, sculptures, arts plastiques... Chacun étant invité à faire des propositions, comme celle d'un atelier de dessin proposée par Stéphanie Muzard, auteur notamment de celui qui illustre ce sujet, publié avec son autorisation en soutien à l'action des zadistes.

Sur le web : la ZAD sur Facebook pour les accros aux réseaux sociaux. Le site de Pays Rochefortais Alert" : si l'association n'a pas initié la ZAD d'Échillais, celle-ci a été créée sous l'impulsion de Thierry Kieffer avec quelques autres de ses membres actifs. Par ailleurs, P.R.A qui inscrit son action dans une démarche plus légaliste, notamment par la voie de recours soutient l'action des zadistes.

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A la Rochelle, la rentrée scolaire, mardi 2 septembre 2014 sera marquée, comme dans toutes les écoles de France par le mise en oeuvre de la réforme des rythmes scolaires : le dispositif rochelais en détail en cliquant ici ; utile également le guide pratique à l'usage des parents, disponible en PDF.

La Rochelle après Xynthia : la municipalité ouvre une concertation avec les Rochelais dans le cadre de l'élaboration de son "PAPI", Programme d'actions de prévention des inondations. Première étape entre le Gabut et la Ville en bois pour prévenir les submersions marines autour d'une performance land-art, d'un e exposition, de visites commentées et d'une grande réunion de restitution publique.

Vernissage à La Rochelle, mardi 2 septembre 2014 à 18h30 : l'Horizon à La Pallice accueille "Rue des papiers votifs", une exposition de photographies de Daniel Nouraud, fruit d'une résidence de création à Hanoï dans le cadre des "Années croisées France-Vietnam". Au programme également : ne performance dansée et musicale avec John Bateman, Maud Vallée, Pascal Ducourtioux et Babet qui font partie du collectif L'Horizon. Celui-ci s'appuie d'une part sur un lieu dédié à la recherche, à la création et à la diffusion. D'autre part, il associe des artistes : comédiens, musiciens, danseurs, chorégraphes, dramaturges et plasticiens qui souhaitent porter et partager des projets en croisant et-ou en associant leurs pratiques artistiques.

Rentrée commerciale à la Foire Expo qui se tient jusqu'au dimanche 7 septembre sur le thème des années soixante. Stands, bonnes affaires, bodega géante, animations sont au programme. De leur côté, la Ville et la Communauté d'Agglomération de La Rochelle proposent une exposition sur le cinquantenaire de la naissance de l'intercommunalité.

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Festival : 35 excellent auteurs ont répondu à l'invitation de la première édition, samedi 6 et dimanche 7 septembre 2014 de Tribus Polar à Fouras, un salon dédié à la littérature policière associé à la BD, le dessin de presse et d'humour, le cinéma, la musique. Ajoutez une exposition ainsi que deux conférences-débats et Jean-Pierre Mocky qui assistera, dimanche après-midi, à la projection de "Solo", un film de 1970 qui est sûrement le meilleur polar du cinéaste-comédien. - (Mar, 02 Sep 2014) - lire et plus ...

Exposition "Les chemins de l'école" : chaque jour, dans le monde des millions d'enfants cheminent vers l'école dans des conditions extrêmes, précaires ou dangereuses, parcourent des kilomètres à pied ou avec des moyens de transport parfois étonnants. Certains traversent des
montagnes, des forêts et même des frontières pour rejoindre leur classe.
Sipa Press a initié une enquête photographique inédite sur ce thème en partenariat avec l'Unesco. Elle témoigne notamment des difficultés d'accès à l'éducation ainsi que de la perception du monde contemporain que peuvent avoir ces enfants. L'un des photographes de ce projet, Théophile Trossat qui s'est rendu en Guyanne est Rochelais.

La Rochelle a la chance d'accueillir depuis le 21 octobre et jusqu'au 18 novembre 2013 l'intégralité de l'exposition, qui raconte 18 histoires, chacune en trois grands panneaux de 160x120 cm. Elle est à découvrir dans différents lieux de la ville. Le Cloître des Dames Blanches, jardin du siège de la Communauté d'Agglomération, rue Saint Michel propose le plus grand panorama avec 7 histoires pour 21 panneaux. Un parcours est au musée du Nouveau-Monde, rue Gargouleau ; deux au Muséum d'histoire naturelle avec les écoliers d'Australie et du Burkina Faso. Un enfant raconte son chemin dans chacun des lycées Dautet, Doriole et Fénelon. Trois autres à Mireuil, dans trois lieux : le centre social, la Passerelle et l'école primaire des Grandes Varennes. Enfin, deux histoires sont visibles sur les marches de la Tour Saint Nicolas.

"Penser mondial, agir local" : créé en 2010, le club de La Rochelle est l'un des 200 clubs pour l'Unesco de France et compte parmi les plus dynamiques. Il a fait sienne cette devise, en phase avec ses activités et les actions qu'il organise ou co-organise avec ses partenaires dans le droit fil des valeurs et missions de l'Unesco.

Les 5 et 6 novembre 2013, Yves Lopez, président de la Fédération française des clubs Unesco était à La Rochelle où il a inauguré officiellement l'escale de l'expositions "Les chemins de l'école". Ce déplacement a surtout permis de formaliser, aux côtés d'Alfred Tudeau, président du club rochelais, le lancement du "Réseau de villes pour l'Unesco" auquel s'associe La Rochelle. A titre expérimental, pour une durée de deux ans, il va réunir également les Communautés d'Agglomération de Rouen et Aurillac ainsi que la Ville de Dijon. Ce premier cercle s'est formé en s'appuyant à la fois sur le dynamisme des clubs Unesco locaux ; et sur l'implication de ces collectivités dans les valeurs et les idéaux de l'organisation internationale : la solidarité internationale, l'éducation interculturelle, le patrimoine et le développement durable.
Le président a rappelé les conditions de la création de l'Unesco, fin 1945, juste après la Seconde guerre mondiale, en se donnant pour mission de promouvoir la paix dans le monde en s'appuyant sur trois piliers : les sciences, la culture et l'éducation. Les clubs pour l'Unesco font vivre à travers le monde cet idéal humaniste qu'ils partagent, localement, avec plus d'acuité avec certaines villes. C'est pour formaliser cet engagement de leurs cités qu'est née l'idée de créer le label "Intercommunalité et Ville pour l'Unesco". Si l'expérience menée par les fondateurs est positive, il verra le jour en 2015 et les collectivités labellisées pourront l'associer à leur identité ainsi qu'à certains événements, actions ou programmes. Bien entendu, rappelait Yves Lopez, tout reste à inventer et pour donner de l'envergure à cette labellisation, il va falloir fédérer d'autres territoires, en France, dans d'autres pays et sur tous les continents.

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A lire aussi : une grande Semaine pour découvrir l'épargne solidaire à La Rochelle et Aytré jusqu'au 21 novembre 2013. La 13e édition du festival les Escales Documentaires a investi, mercredi 6 novembre une douzaine de lieux, les projections jusqu'au 10 novembre sont "à prix libre et participatif", soirée ciné-concert à La Sirène dimanche et rediffusion des films primés dans la matinée le 11 novembre. Vie publique le bilan de la première mission de la brigade de contrôle nocturne mise en place entre juin et octobre 2013 à La Rochelle.
Fils d'info : brèves et rendez-vous Municipales 2014. Agenda : sorties, festivals, spectacles, concerts... - (Jeu, 07 Nov 2013) - lire et plus ...

La Rochelle accueillait le 1er décembre 2011 les premiers "Ateliers de l'électromobilité". Un an après, mardi 4 décembre 2012, la seconde édition à l'Espace Encan prend une nouvelle envergure avec la création du premier Congrès national annuel des collectivités électromobiles.
Deux ministres sont annoncés. Pour le ministère du redressement productif, Arnaud Montebourg doit normalement ouvrir le congrès à 9h30 aux côtés de Maxime Bono, maire de La Rochelle et président de la Communauté d'Agglomération et de Joseph Beretta, président de l'Avere-France. Reste à voir si, compte tenu des récentes discordances gouvernementales dans la gestion du dossier des hauts fourneaux de Florange, Arnaud Montebourg fera le déplacement ou bien s'il sera finalement représenté. Également attendue, Delphine Batho, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie interviendra en clôture.
Rappelons que le Gouvernement a défini un nouveau "plan automobile". Dans une logique de "conversion écologique de l'économie", il s'appuie notamment sur le développement des véhicules électriques et hybrides pour réorienter la production française. Pour soutenir la demande, les bonus accordés pour l'acquisition de ces voitures ont été renforcés cet été. L'État incite également les donneurs d'ordre publics à orienter leurs commandes vers ce type de véhicules.

Le plan automobile prévoit aussi de déployer des infrastructures de bornes de recharge pour les véhicules électriques sur l'ensemble du territoire. Dans ce domaine, La Rochelle devrait une nouvelle fois être un terrain d'expérimentation au cours des prochains mois avec un programme sur un modèle de borne dit "solaire intelligent". Par ailleurs, dans le cadre d'une première mondiale, elle devrait tester sur un bus de mer électrosolaire de nouvelles piles à combustible.

L'Avere-France, association professionnelle qui fédère les acteurs de la mobilité électrique depuis 1978, remettra par ailleurs dans le cadre du congrès, ses 3e Trophées des villes électromobiles. Quelques semaine après la tenue, également à l'Espace Encan du "Salon des éco-industries" de la Région Poitou-Charentes, La Rochelle confirme sa place particulière dans le "Cercle Clé des collectivités électromobiles". Créé au mois de mai 2012, il réunit une vingtaine de villes et intercommunalités lauréates des Trophées des Villes électromobiles ainsi que des régions et départements adhérents de l'Avere-France.

Le Congrès des collectivités électromobiles du 4 décembre 2012 est placé sous les hauts patronages de deux ministères : écologie, développement durable et énergie ; et redressement productif. Il s'adresse à tous les professionnels concernés par l'enjeu de l'électromobilité : exécutifs des collectivités territoriales, parlementaires, entreprises qui viendront y chercher des réponses simples et concrètes sur "l'état de l'art" dans le domaine de la mobilité électrique auprès d'experts et spécialistes. Les gammes de véhicules, les infrastructures, les systèmes d'informations, les batteries et stations de rechargement, le financement des projets... Les participants pourront aussi découvrir dans l'espace d'exposition des modèles de véhicules électriques nouvelle génération. L'objectif étant de passer de la théorie à l'action en préparant la signature de bons de commandes.

Au programme, de l'état de l'art au financement des projets : le matin, les congressistes travailleront entre état des lieux et prospective sur l'avancement du plan "véhicules électrique" en France ; les principales initiatives en matière d'électromobilité dans le monde ; les raisons de l'avènement et de l'essor de l'électromobilité. Ensuite, il sera question d'altermodalité et d'intermodalité autour de l'auto-partage et des services électromobiles ainsi que de la place des 4 roues, tricycles et 2 roues électriques dans les politiques de transports urbains. La matinée se terminera sur les questions de réglementation et de sécurité. Après la pause déjeuner, un point sera fait sur l'offre et la demande ainsi que les process d'achat. Puis on passera à un enjeu important pour booster les usages : celui de la charge, c'est-à-dire des batteries et des dispositifs pour les recharger. À 16h30 : place au nerf de la guerre, c'est-à-dire les sources de financement notamment dans le cadre du grand emprunt et plus largement des dispositifs d'incitations et des aides publiques au niveau national et européen.

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La Rochelle primée pour l'expérimentation de véhicules sans chauffeur : début novembre 2012, la Communauté d'Agglomération de La Rochelle a reçu le prix Territoria d'Argent du développement durable au Sénat à Paris. Ces prix sont décernés depuis 1986 par Territoria, l'Observatoire national de l'innovation publique. C'est la participation de La Rochelle au projet européen CityMobil qui a été ainsi valorisée. Celle-ci a permis de réaliser de mai à juillet 2011, le premier test "grandeur nature", dans l'espace public d'un véhicule autonome, sans chauffeur. Cette "voiturette" futuriste, un prototype de marque Yamaha a transporté à la demande plus d'un millier de personnes sur environ 600 mètres entre l'Université et les portes du bassin à flot. En complément des bus, des vélos et voitures électriques en libre-service et des bateaux électriques, il a permis d'assurer une continuité de service public entre le centre ville et le quartier de la Ville en bois.

Le projet, piloté par la CdA de La Rochelle a impliqué la Ville ; l'INRIA, Institut national de recherche en informatique et en automatique, l'Université de Rome, TNO, Proxiway, la filiale de Véolia qui gère botamment Yélomobile à La Rochelle et l'EIGSI, l'École d'ingénieurs de La Rochelle. La Rochelle est déjà engagée dans le deuxième volet du projet européen CytiMobil. Après une phase d'étude de plusieurs mois, une ligne de transport urbain automatisé et articulée avec les autres modes de transport pourrait être ouverte en test à partir de 2014.

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